Marielle DAUSEND MARCHETTI
Psychologue Clinicienne

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Comment fonctionne la dissociation traumatique ? Comment notre corps nous anesthésie pour nous protéger ? Comment réagissons-nous face à un événement déclencheur quand nous avons subi un traumatisme par le passé ? Quels sont les exemples de déclencheurs ? Nos comportements et réactions qui nous semblent anormales suite à un psychotraumatisme sont-elles si anormales que cela ?

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Dans la majorité des cas, c’est à l’adolescence, entre 15 et 20 ans que ces troubles se manifestent, de façon le plus souvent aiguë.
Parfois entre 20 et 30 ans, au moment d’entrer dans la vie active, un trouble du comportement apparaît, venant bouleverser la vie de la personne.

L’apparition des troubles peut être progressive. Des changements d’attitude, des propos bizarres, un retrait du groupe familial, l’éloignement des amis, la perte d’intérêt pour les activités habituelles.
D’abord, on ne comprend pas ou on ne veut pas comprendre – on donne à ces comportements une cause extérieure : crise d’adolescence, chagrin amoureux, échec scolaire, peur des examens, ou prise de drogues.

Il arrive aussi que le début des troubles soit brutal, (c’est notamment le cas au cours des schizophrénies) et entraîne un risque réel pour la personne et pour son entourage : tentative de suicide, extrême agitation, violence, fugues.

Voici le témoignage touchant d'une mère...

 

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Voici une intervention du Dr Catherine Gueguen, pédiatre, qui s'appuie sur les connaissances scientifiques sur le cerveau et plus particulièrement sur les neurosciences affectives et sociales, pour nous expliquer pourquoi et comment une relation chaleureuse et empathique peut générer un cercle vertueux dans l'éducation. Et à contrario, pourquoi et comment certaines attitudes parentales, peuvent aller à l'encontre de l'effet désiré dans l'éducation.

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A l'heure de la rentrée, des choix pré-professionnels ou professionnels, certains vont voir partir leurs enfants, leur enfant, parfois vient le tour du petit dernier... Un creux, un vide se créé poinçonné par l'absence, un sentiment d'inutilité se développe, un sentiment d'abandon parfois... le syndrome du nid vide. Pourtant, leur envol était logique, connu, espéré comme un signe d'avancement, d'épanouissement et peut-être de réussite.

 

Voici 3 vidéos qui permettent d'appréhender ce que représente le syndrome du nid vide et d'envisager quelques pistes de réflexion pour l'anticiper.

 

Les deux premières sont extraites d'un documentaire intitulé "Nid plein, nid vide" (de Chloé Hunzinger), construit à la manière d'un poème et de différents témoignages de mères en ayant fait l'expérience.

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La dernière vidéo inclus l'idée que les mères ne sont pas les seules concernées, mais explique la raison pour laquelle elles le sont davantage, et donne des pistes pour éviter la souffrance coupable que l'enfant peut ressentir et pour préparer ce départ.

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Une question banale me direz-vous... pourtant sauriez-vous réellement y répondre ?

Le terme de psychothérapie est maintenant -et heureusement- entré dans les mœurs, il est régulièrement utilisé et autour de nous, beaucoup de personnes de notre entourage y ont recours, mais quels sont les ingrédients pour une psychothérapie efficace ?

Pour le savoir, regardez cette vidéo pleine d'humour qui adoucit les contours d'une relation qui peut encore, malgré tout, intimider...

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Douter de soi au travail peut dans une certaine mesure nous permettre de nous challenger, de rester motivé et de conserver une certaine humilité. D’ailleurs, entre 62 et 70 % de la population douterait un jour ou l’autre de la légitimité de son statut professionnel ou de son succès. Mais vivre dans l’anxiété constante de ne pas se révéler à la hauteur, menant ainsi vers la procrastination ou le travail excessif à chaque nouvelle tâche, peut signifier que l’on souffre d’un “syndrome de l’imposteur”.

Ça vous parle ? On fait le point en cliquant sur le bouton ci dessous et en regardant cette vidéo.​

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Serge Tisseron décrit l’empathie comme le fait de pouvoir se mettre à la place de quelqu’un, au moins partiellement, relativement à certaines parties de l’expérience vécue par l’autre et de nos expériences vécues dans le passé. Il y a une dimension émotionnelle et une dimension cognitive (avoir une idée de ce que l’autre a pensé) dans l’empathie.

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La reconnaissance par le corps (les mimiques, les microexpressions, les postures corporelles…) joue un rôle essentiel dans l’empathie : c’est le moment où on va accepter que l’autre puisse s’identifier à nous autant que ce qu’on s’identifie à lui.

De récentes études ont montré que, dès 14 mois, les bébés viennent en aide aux autres de manière spontanée, et ce sans en attendre la moindre récompense (Warneken & Tomasello, 2007). Il y a donc un désir d’entraide chez les tout jeunes enfants qui se développe à la suite de l’apparition de la capacité à l’empathie émotionnelle.

 

Même si elle est innée, l’empathie doit être encouragée. Le manque d’amour dans l’enfance et la violence au quotidien inhibent la capacité à reconnaître les émotions. L’empathie est une aptitude au départ mais c’est l’éducation qui va permettre à l’enfant de la cultiver. C’est l’accompagnement à l’empathie qui va développer l’empathie.

 

"La meilleure manière de développer la capacité d’empathie d’un enfant,

c’est de lui démontrer de l’empathie."

Serge Tisseron

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Un webdocumentaire d'information et de prévention en santé mentale participant à la lutte contre la stigmatisation. Une réalisation collective entre usagers de la psychiatrie, psychologues et vidéastes.

Un outil fluide et passionnant même pour les curieux.

L'objectif vise la population des jeunes, celle qui est la plus sujette au basculement vers des troubles psychiques et qui est paradoxalement la moins sensibilisée aux symptômes possibles. Ce paradoxe amène parfois à un grand isolement, un repli ou des consommations mal gérées, signe d'une incompréhension parfois massive de ce qui peut les traverser. 

Ce site a été créé pour eux et pour leurs proches !

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C'est avec un charmant accent canadien que vous trouverez ici la description et les caractéristiques de quelques troubles anxieux les plus courants. Une vidéo accessible et imagée pour mieux comprendre ce qui se joue chez les personnes qui présentent des attaques de panique, un trouble panique, une phobie spécifique, des troubles obsessionnels compulsifs, une phobie sociale ou de l'anxiété généralisée.

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L’adolescence est un moment que de nombreux parents redoutent. Et en voyant le caractère difficile de leur bébé ou de leur enfant, certains parents s’imaginent vivre l’enfer au moment de l’adolescence.

Nous avons donc posé la question à Marcel Rufo, pédopsychiatre, pour savoir si un enfant en opposition le sera également à l’adolescence.

Marcel Rufo veut rassurer. Il existe autant de parcours qu’il y a d’enfants. Il peut y avoir des parcours linéaires, avec des enfants qui s’opposent pendant leur enfance et continuent à l’adolescence. Mais il est aussi possible que l’enfant difficile devienne un adolescent adorable… et vice versa.
 

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